Un problème comme celui de la burqa en France pourrait-il se poser en Iran ?...
Evidemment, non. Un document suffit à le prouver...
Clotilde Reiss comparaît, le samedi 8 août, devant le Tribunal pour sa participation à la contestation de l'élection d'Ahmadinedjad.
Elle a la tête couverte, d'office, parce que là-bas, les femmes ont, au minimum, la tête couverte. On ne lui demande pas son avis, on l'y oblige, parce que c'est l'usage local, et parce que "on" trouve tout à fait normal de se plier à l'usage local.